Présentation de la revue
Global Africa est une revue panafricaine, internationale, dédiée à l’expression, la diffusion et la valorisation d’une recherche d’excellence en sciences humaines et sociales sur le continent africain et sa diaspora. Elle accueille des réflexions sur les enjeux globaux et leurs défis appréhendés à partir de l’Afrique et de ses diasporas pour montrer comment les transformations du monde se jouent depuis le continent. Portée par l’Université Gaston Berger de Saint-Louis à travers son Laboratoire d’Analyse des Sociétés et Pouvoirs/Afrique-diaspora (LASPAD) en partenariat avec un consortium de treize institutions de recherche panafricaines, africaines et européennes, la revue a pour objectif de contribuer aux débats actuels, dans et hors de la sphère académique, dans lesquels les problématiques africaines croisent les enjeux globaux. Elle s’intéresse particulièrement aux transitions en cours et celles à venir, qu’elles soient économiques, énergétiques, démographiques, numériques, sanitaires, écologiques, technologiques, urbaines, à partir d’approches pluri/interdisciplinaires.
Mission
Global Africa se propose de tenir un agenda intellectuel centré autour de l’actualité et des futurs du continent, c’est-à-dire de penser un continent pris dans la mondialisation, un espace saisi dans son rapport au monde.Elle entend, de ce fait, fournir une tribune exigeante et innovante aux voix des chercheurs africains pour décrire et penser les trajectoires, les tensions qui se repèrent dans l’enchevêtrement des enjeux locaux, nationaux, communautaires et transnationaux.
Global Africa se veut l’écho des nouvelles voix de la recherche africaine d’excellence en sciences humaines et sociales. Son objectif est d’accroitre significativement la contribution africaine dans la création scientifique mondiale, et de susciter une réflexivité critique permettant de renforcer les fondements épistémologiques, théoriques, méthodologiques et déontologiques de la recherche en Sciences Humaines et Sociales (SHS). Pour ce faire, la revue accompagne notamment les jeunes chercheur·e·s à travers divers mécanismes : la diffusion de leur recherche dans les quatre langues les plus parlées du continent (anglais, arabe, français, swahili), la co-publication, un processus éditorial engagé à inclure plus qu’à exclure, tout en maintenant la qualité des productions, des actions de formation et de renforcement des capacités.
Une revue diamant
Global Africa publie quatre fois par an un numéro thématique (sauf pour les deux premières années — 2022 et 2023 — durant lesquelles la publication sera semestrielle), incluant des textes hors dossier (varia), des points de vue d’experts en prise avec l’actualité et des recensions d’ouvrages. En 2022, les numéros paraitront en mars et décembre et en 2023 en juin et décembre.
La revue Global Africa est consultable en ligne gratuitement, sur le site de Global Africa, en texte intégral, dès parution, sans aucun frais pour le lecteur et sans frais de traitement associés (Article Processing Charge - APC) pour les auteur·e·s et leurs institutions, selon le modèle d'édition en accès ouvert diamant (Diamond Open Access).
La revue est diffusée avec des articles aux formats Html et PDF. Elle est également publiée sous format papier et pourra, dans ce cas, être commandée à l’unité (impression à la demande) ou sur abonnement annuel.
L’ensemble du processus éditorial de la revue est soumis au respect de sa charte éthique. Chacun·e des acteur·rice·s du processus (éditeur·rice·s, auteur·e·s, rédacteur·rice·s, évaluateur·rice·s, traducteur·rice·s) est réputé·e en avoir eu connaissance, et est tenu·e de s’y conformer.
La soumission d’un texte à la revue entraîne, ipso facto, acceptation par l’auteure· de sa publication finale sur le site de la revue et sa version imprimée, ainsi que sur les portails avec lesquels la revue a conclu des accords.
Un numéro d’identifiant d’objet numérique (Digital Object Identifier - DOI) est assigné à chaque article. Ce numéro DOI permet de chercher, d’identifier et de citer les articles.
Elle est ou sera proposée aux principales bases d’indexation internationales notamment Scopus, Web of Science, Directory of Open Access Journals (DOAJ), Google Scholar, AJOL (African Journals Online).
Global Africa est signataire de la Déclaration de San Francisco sur l’évaluation de la recherche (San Francisco Declaration on Research Assessment — DORA).
Copyright, licence et archivage
Les auteur·e·s cèdent les droits de leurs œuvres à Global Africa. Ils·elles sont libres de diffuser leur article, mais devront indiquer que ce dernier a été publié dans Global Africa (en fournissant les données bibliographiques avec le DOI assigné). Les auteur·e·s acceptent de publier leurs articles sous une licence Creative Commons CC BY 4.0. (Creative Commons Attribution 4.0 International License). Cette licence autorise les tiers à lire, télécharger, copier et disséminer les travaux. La licence CC BY est la licence la plus ouverte disponible. Elle permet une diffusion et une réutilisation maximales des documents en libre accès.
Ligne éditoriale
Global Africa est un lieu d’analyses et de débats sur la place de l’Afrique dans le monde, en prise avec les enjeux globaux, soucieuse de s’inscrire dans la « science de la durabilité », la « science citoyenne » et dans la recherche prospective.
Dans l’optique de renforcer l’écosystème de la publication des savoirs scientifiques en Afrique, les textes publiés par Global Africa répondront à une exigence majeure : investir des sujets qui font progresser les connaissances, la compréhension du réel, dans un champ, qu’il soit disciplinaire ou thématique, ceci à partir de constructions théoriques et conceptuelles ainsi que de données empiriques éprouvées. À titre d’exemple, sont attendues à la fois des contributions originales et critiques sur les problématiques inscrites dans les agendas internationaux (sécurité humaine, migrations, santé, éducation, environnement, ressources naturelles, démographie, genre, inégalités, urbanisation, démocratie, etc.), et des réflexions sur les rationalités, les valeurs et les pratiques à l’œuvre dans la problématisation même de questions ayant la prétention de dessiner les « trajectoires de développement » du continent.
Mieux encore, les enjeux éthiques, politiques et économiques liés à la quatrième révolution industrielle, qu’il s’agisse d’intelligence artificielle, de Big Data, de trans-post-humanisme, de nanotechnologies, de technologies numériques, de biopolitique, de gouvernance mondiale, de société de contrôle, etc. seront explorés à partir du continent. De ce point de vue, Global Africa considère que pour penser le monde d’aujourd’hui et celui à venir, il est fécond de mettre en dialogue les sciences humaines et sociales avec les sciences numériques, expérimentales, ceci dans la lignée des perspectives qu’ouvrent, par exemple, l’approche STEAM (Science, Technology, Engineering, Arts and Mathematics). Au-delà des incantations à l’interdisciplinarité, l’objectif est concrètement d’accueillir des analyses émanant de divers espaces disciplinaires dès lors que – dans une démarche réflexive ou appliquée – elles permettent d’enrichir les réflexions qui visent à comprendre les dynamiques à l’œuvre sur le continent.
Située dans le champ des études globales, la revue accorde pourtant une grande attention à ce qui se passe au niveau local. Global Africa juge indispensable de s’approprier des sujets (cf. supra) qui font écho à des préoccupations « locales », émanant du corps social – qu’il s’agisse des personnes ou des groupes qui les vivent quotidiennement ou qui les organisent et les gouvernent – y compris celles des femmes, des jeunes et des personnes marginalisées. La revue s’ouvre dès lors aux arts, cultures, techniques et savoirs extra-académiques, en discutant avec des experts reconnus dans leur domaine. Cette conviction de la nécessaire (co)production de savoirs robustes, non pas uniquement pour eux-mêmes, mais aussi pour la société, se traduira par la publication de textes avec des formats complémentaires accompagnant les articles scientifiques classiques. Global Africa s’inscrit ce faisant dans une politique d’ouverture assumée :
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ouverture vers des contributeurs de toutes origines disciplinaires comme intellectuelles ;
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ouverture en direction de thématiques dont les paradigmes seront repensés (des objets aux interfaces, sur des fronts de science) ;
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ouverture vers des utilisateurs des connaissances produites (acteurs des sociétés civiles, militants et décideurs politiques, secteur privé) ;
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et ouverture, enfin, vers les langues africaines mobilisées comme langues de recherche et de travail.
La conviction de Global Africa est que ces ouvertures seront d’autant plus légitimes qu’elles seront fondées sur des savoirs produits et validés au travers des meilleurs standards académiques.
Global Africa encourage les approches comparatives transcontinentales, à même de faire en sorte que les regards des chercheurs de et par l’Afrique permettent d’en penser la place dans le monde, dans la mondialisation, son histoire et ses trajectoires à venir confondues. Non pas que cette place ne puisse être comprise, voire mesurée, à partir des seules expériences du continent, mais plus exactement avec la conviction que la mise en perspective avec ce qui se joue dans d’autres espaces permet d’en renouveler les lectures. La pertinence et la plus-value intellectuelles du comparatisme sont parmi les outils revendiqués. De tels enjeux et de telles questions exigent que soient audibles les voix des chercheur·e·s africain·e·s et des diasporas engagé·e·s à repenser les cadres classiques d’analyse, reformuler les problématiques, et innover théoriquement et méthodologiquement.
Rubriques de la revue
Global Africa, revue interdisciplinaire, publie des articles originaux en français, arabe, anglais et swahili. Elle accepte différents types de textes dont l'objectif est d’aborder les problématiques chères à la revue dans un esprit scientifique. Tout texte soumis au comité de rédaction pour publication éventuelle dans Global Africa doit présenter :
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un caractère scientifique,
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un intérêt par les informations factuelles (inédites) qu’il contient,
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les discussions qu’il engage,
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l’état de la question qu’il propose et
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les conclusions originales qu’il tire.
Ces contributions trouvent leur place sous les rubriques suivantes :
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Analyses critiques :
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Les textes peuvent présenter soit des résultats de recherche ou une synthèse sur une question, soit une réflexion épistémologique, soit une analyse scientifique ou exploratoire qui ouvre des pistes ou des orientations de recherche. La structure du manuscrit doit être comprise (notes, résumé, mots-clefs et références inclus) entre 40 000 et 50 000 signes.
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(Re)découverte :
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Il s’agit de textes séminaux, anciens ou publiés dans des langues qui ne sont pas celles de la recherche globale (langues africaines notamment) qui présentent un intérêt substantiel aussi bien pour l’enseignement supérieur que pour la recherche. Une présentation de l’auteur·e et du texte ainsi qu’une réflexion sur sa fécondité pour penser notre siècle seront requis (entre 25 000 et 30 000 signes).
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RegArts :
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Cette rubrique cherche à promouvoir le dialogue entre les sciences et les arts et notamment comment ceux-ci contribuent à penser le siècle (entre 25 000 et 30 000 signes).
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Champ et contre-champ :
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Cette rubrique présente des entretiens avec des acteur·e·s majeur·e·s de la recherche africaine et mondiale, en lien avec les thèmes des dossiers.
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La fiche interdisciplinaire / comparative :
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Cette rubrique est destinée à partager et discuter des exemples précis de méthodes inter et transdisciplinaire et comparative, ainsi que leurs apports et limites. Ces textes ne doivent pas excéder 15 000 signes (espaces incluses).
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Par ailleurs, le site de la revue, lieu de débat et d’animation scientifique, accueille en flux continu des recensions d’ouvrages . Ces textes ne doivent pas excéder 10 000 signes.
Comité de rédaction
Composé d’une douzaine de spécialistes reconnus sur le plan international pour leur expertise, il est placé sous la responsabilité de la rédactrice en chef. Le comité de rédaction est chargé de la programmation des numéros de la revue, en lien avec le comité scientifique. Il définit le contenu et le calendrier éditorial de la revue, invite des coordonnateurs scientifiques de dossiers, procède avec eux·elles à la sélection des articles proposés, organise leur évaluation et valide les versions révisées. En cas de divergences d’appréciation entre les évaluateur·rice·s, de persistance d’un doute bloquant l’arbitrage, il peut demander des avis complémentaires.
Le comité de rédaction sélectionne les articles avec un grand souci d’impartialité. Il accorde une attention particulière aux articles participant au débat scientifique. Tout article présentant une critique pertinente d’un autre article paru dans la revue pourra être publié. Par ailleurs, tout·e auteur·e peut apporter une réponse à une critique émise dans la revue à l’encontre de son article.
Les articles des auteur·e·s sont sélectionnés sur la base de leur seule qualité scientifique et intellectuelle, sans distinction de race, de sexe ou d’orientation sexuelle, de conviction religieuse, de nationalité, d’affiliation universitaire ou de positionnement politique. Le comité de rédaction tient compte, dans ses décisions, des exigences légales en matière de diffamation, de violation du droit d’auteur·e ou de plagiat.
Comité éditorial
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Rédactrice en chef : Mame-Penda Ba, Politologue, UGB, Sénégal, mame-penda.ba@ugb.edu.sn
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Rédacteur-rice-s en chef adjoint-e-s :
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Divine Fuh (EN), Anthropologue, Université de Cape Town (UCT), Afrique du Sud, divine.fuh@uct.ac.za
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Faisal Garba (EN), Sociologue, Université de Cape Town (UCT), Afrique du Sud, faisal.garbamuhammed@uct.ac.za
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Mohamed Jouili, Anthropologue, Université de la Manouba (ULM), Tunisie, mohamed_jouili@yahoo.fr
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Toussaint Kafarhire (FR), Politologue, African Studies Association of Africa (ASAA), Ghana, kafmurhula@gmail.com
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Olivier Dangles, Biodiversité, Science du développement durable, Institut de Recherche pour le Développement (IRD), France, olivier.dangles@ird.fr
- Farid El Asri (FR), Anthropologue, Université Internationale de Rabat (UIR), Sciences Po Rabat, Maroc, farid.elasri@uir.ac.ma
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Philippe Lavigne-Delville, Anthropologue, Institut de Recherche pour le Développement (IRD), France, philippe.lavignedelville@ird.fr
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Frédérique Louveau (FR), Anthropologue, Université Gaston Berger (UGB), Sénégal, frederique.louveau@ugb.edu.sn
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Nadine Machikou, Politologue, Université de Yaoundé, Cameroun, nadine.machikou@univ-lyon3.fr
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Uchenna Okeja (EN), Philosophe, Université de Rhodes, Afrique du Sud, u.okeja@ru.ac.za
- Mireille Razafindrakoto, Économiste et statisticienne, Institut de recherche pour le développement (IRD), France, razafindrakoto@dial.prd.fr
Conseil scientifique
Le conseil scientifique comprend vingt-cinq personnalités internationales, couvrant l’ensemble des disciplines des sciences sociales et environnementales. Au-delà de la caution intellectuelle de la revue, il joue un rôle actif et propose au comité de rédaction des orientations pour la revue, lui suggère des coordinateur·rice·s scientifiques pour les numéros thématiques. Ses membres sont représentatif·ve·s du positionnement transdisciplinaire et global de la revue, en termes de discipline, de genre, d’origine géographique et de langue d’expression (anglais, français, arabe, swahili).
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Akosua Ampofo (présidente), Études sur le genre, African Studies Association for Africa (ASAA), aadomako@ug.edu.gh
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Paul Tiyembe Zeleza, Économie, United States International University (USIU)
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Souleymane Bachir Diagne, Philosophie, Columbia University, sd2456@columbia.edu
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Mamadou Diouf, Histoire, Columbia University, md2573@columbia.edu
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Cecilia Lynch, Science politique, relations internationales, Université de Californie à Irvine, clynch@uci.edu
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Estienne Rodary, Géographie et Science politique, Institut de recherche pour le développement (IRD), estienne.rodary@ird.fr
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Célestin Monga, Économie, Banque mondiale/Harvard
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Bouchra Sidi Hida, Sciences Sociales et gouvernance, Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA), bouchra.sidihida@codesria.org
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Philippe Peycam, Histoire, International Institute for Asian Studies (IIAS), p.m.f.peycam@iias.nl
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Ibrahima Thioub, Histoire, Université Cheikh Anta DIOP,
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Fatima Sadiqi, Linguistique et études de genre, Université de Fez, sadiqi_fatima@yahoo.fr
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François Roubaud, Économie, Institut de recherche pour le développement (IRD), roubaud@dial.prd.fr
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Felwine Sarr, Économie, Duke University, felwine.sarr@duke.edu
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Steffan Ouma, Géographie, Université de Bayreuth, stefan.ouma@uni-bayreuth.de
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Fatou Sow, Études sur le genre, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) / Université Cheikh Anta Diop (UCAD)
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Pap Ndiaye, Histoire, Science Po Paris / Musée national de l’histoire de l’immigration
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Foued Laroussi, Linguistique, Université de Rouen, foued.laroussi@univ-rouen.fr
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Zahia Jouirou, Études islamiques et religions comparées, Université de La Manouba, Zahia.jouirou@flah.uma.tn
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Ibrahima Kane, Droits humains, Open Society Foundations / Union africaine,ibrahima.kane@opensocietyfoundations.org
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Reda Benkirane, Sociologie, Université Mohammed VI Polytechniques, reda.benkirane@archipress.org
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Walter Mignolo, Anthropologie, Duke University, wmignolo@duke.edu
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Dominique Darbon, Science politique, Les Afriques dans le monde (LAM), d.darbon@sciencespobordeaux.fr
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Mbissane Ngom, Droit, Université Gaston Berger, mbissane.ngom@ugb.edu.sn
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Fatima Harrak, Historienne et politologue, Institut d’études africaines, Université Mohammed V, f.harrak@hotmail.com
Personnel de la revue
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Rédactrice en chef : Mame-Penda Ba
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Responsable contrôle qualité : Souleymane Camara
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Secrétariat d’édition : Rokhaya Mbaye
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Responsable informatique : Mouhamed Koudous Alao Amoussa
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Responsable de la communication publique et du partenariat : Rokhaya Mbaye
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Responsable de la communication digitale : Mouhamed Moriba Cissokho
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Responsable maquette : Mouhamed Koudous Alao Amoussa
Communauté et contacts
Global Africa est une communauté et nous sommes convaincus que nous grandirons en qualité et en utilité en écoutant vos besoins, vos remarques, critiques, suggestions.
Nous serons également heureux de relayer dans notre rubrique Actualités, les nouvelles de vos institutions de recherche et de vos conférences, notamment si elles portent sur des problématiques chères à Global Africa et sur les questions liées à l’édition scientifique.
Nous sommes ouverts à des suggestions de partenariat institutionnel et de collaboration individuelle
La rédaction s’engage à répondre aux courriers et remarques envoyés par les auteur·e·s et lecteur·rice·s. Pour contacter la rédaction, veuillez cliquer ici.
Les manuscrits doivent être déposés sur la plateforme de soumission en ligne. Pour plus d’informations, consultez notre guide général pour la préparation et la soumission des manuscrits.
Si vous avez néanmoins besoin de soutien technique (pour une inscription ou une soumission en ligne), vous pouvez nous joindre via Signal ou Whatsapp sur ce numéro : + 221 77 890 88 88
Adresse postale :
Global Africa, Université Gaston Berger ,
BP 234, Saint-Louis, Sénégal