Charte éthique applicables aux traducteur·rice·s
Probité et intégrité
Les traducteur·rice·s doivent exercer leur mission avec probité et intégrité, fondement de la confiance du comité de rédaction. Les traducteur·rice·s s’engagent à ne pas accepter d’autres missions qui porteraient atteinte à la qualité scientifique de la revue.
Fidélité
Les traducteur·rice·s s’engagent à travailler dans les règles de l’art en restituant fidèlement le sens du document qui leur est confié.
Secret professionnel
Les traducteur·rice·s sont tenu·e·s au respect du secret professionnel sous réserve des strictes exigences de leur propre défense et des cas où la déclaration ou la réévaluation est prévue ou autorisée par la loi ou avec l’accord explicite du comité de rédaction. Le secret professionnel porte sur toutes les informations et sur tous les documents qui leur sont transmis.
Respect du comité de rédaction
Dans leurs relations professionnelles, les traducteur·rice·s doivent respecter la confiance que leur a accordée le comité de rédaction en s’interdisant notamment d’accepter, d’exécuter ou faire exécuter un travail dont il·elle·s ne peuvent garantir la qualité ou de confier à des tiers tout ou partie du travail sans en avoir informé le comité de rédaction et recueilli son accord.
Les traducteur·rice·s s’interdisent toute forme de publicité de nature à induire en erreur et, notamment, de se prévaloir de titres, diplômes et compétences qu’il·elle·s ne possèdent pas.
Les traducteur·rice·s veillent à toujours réunir les conditions leur permettant de réaliser un travail de qualité. Il·elle·s s’engagent à travailler dans les règles de l’art, à savoir :
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Traduire uniquement vers leur langue maternelle ou une langue cultivée, maniée avec précision et aisance ;
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Disposer des connaissances et des compétences requises dans le domaine de spécialité de la mission ;
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Se documenter en vue d’une parfaite compréhension et restitution des documents à traduire ;
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Entretenir et développer leurs connaissances et leurs compétences professionnelles en se formant de manière permanente ;
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Refuser des délais incompatibles avec la mission confiée.
Les traducteur·rice·s s’engagent à conseiller le comité de rédaction sur les méthodes et les techniques les mieux adaptées à l’accomplissement des missions qu’il leur confie.
Respect des règles de bonne conduite
Le comité de rédaction et les traducteur·rice·s s’engagent à travailler dans le respect de la Recommandation de Nairobi (UNESCO, 1976). Les traducteur·rice·s s’obligent à respecter les droits de propriété intellectuelle et jouissent également du respect de leurs droits en tant qu’auteur·e. Il·elle·s s’engagent, en outre, à se référer aux conventions de bonne pratique applicables dans le secteur et le pays dans lesquels il·elle·s exercent.